Dynabook Europe GmbH dévoile aujourd’hui les résultats de sa nouvelle recherche, « An SMB Guide to Making Hybrid Working Permanent ». Cette dernière montre que de nombreuses PME européennes luttent encore pour surmonter les défis du travail hybride. Deux tiers (67%) n’ont pas encore optimisé pleinement leurs solutions informatiques pour cela. L’étude, commandée par Dynabook en partenariat avec Walnut Unlimited, a interrogé 1 202 décideurs informatiques de petites et moyennes entreprises (PME) au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Espagne, aux Pays-Bas, en Belgique et en Italie.
L’étude indique également que les budgets informatiques sont généralement en hausse dans la région. Ceci est particulièrement notable au Royaume-Uni, où 54 % des PME ont révélé avoir un budget informatique plus élevé cette année par rapport à l’année dernière. Près de la moitié (48 %) des PME en France ont annoncé une augmentation de leur budget, suivies de près par 46 % de celles en Espagne. Pendant ce temps, seuls 23 % des répondants français ont signalé une diminution de leur budget informatique. Par la suite, les trois principaux domaines prioritaires d’investissement informatique au cours des 12 prochains mois comprennent l’infrastructure de cybersécurité (49 %), les solutions basées sur le cloud (39 %) et le support/l’assistance informatique à distance (36 %). Équiper les employés d’appareils est également une priorité d’investissement populaire (40 %).
« Il ressort de nos recherches que les entreprises opèrent dans un environnement informatique plus complexe que jamais, car le travail hybride continue de présenter des défis en matière de sécurité, de productivité et de fiabilité pour les PME européennes », a déclaré Damian Jaume, President, Dynabook Europe GmbH. « Bien qu’il n’y ait pas d’approche unique, il est clair que les budgets doivent s’accroître tandis que nous traversons une période économique difficile. Il est essentiel que les PME investissent et déploient en priorité des technologies fiables, rentables et sécurisées, car elles visent à rendre la transition hybride permanente. »
Pour les PME, la transition d’un environnement de bureau traditionnel à un modèle de travail hybride a présenté de nombreux défis opérationnels, la réduction des temps d’arrêt informatiques s’est révélée être un défi majeur pour un peu plus de la moitié (55 %) des répondants. Près de la moitié des PME européennes perdent au moins sept heures par mois et par employé en raison d’interruptions informatiques, soit 12 jours par an, et seulement 17 % des PME françaises pensent disposer de ressources informatiques suffisantes pour soutenir leur personnel. Pour ceux qui disent ne pas disposer de ressources suffisantes, ce qui leur manque le plus souvent, c’est le personnel : 30 % des PME françaises ont indiqué qu’ils n’avaient pas suffisamment de personnel de sécurité informatique, et également 30 % disent la même chose concernant le personnel informatique en général.
Ce n’est donc pas surprenant de voir les PME se tourner vers des solutions technologiques plus abordables et fiables, qui peuvent simplifier la gestion informatique tout en maintenant la sécurité et la productivité de l’ensemble de la main-d’œuvre. Les appareils sont au cœur de cela, 61 % des PME françaises considérant que les décisions d’achat concernant les ordinateurs portables sont plus importantes maintenant qu’avant la pandémie. De même, les technologies émergentes telles que les infrastructures de bureau virtuel (VDI) (52 %) et les solutions de Edge computing (47 %) se classent en bonne place dans cette catégorie en raison de leur capacité à fournir un environnement distant hautement sécurisé mais productif pour les employés.
Enfin et surtout, la sécurité reste une priorité majeure alors que les entreprises sont confrontées à un paysage de cybermenaces en constante évolution. L’étude a révélé que 48 % des PME françaises considéraient la sécurité comme l’élément informatique le plus difficile à gérer pendant la pandémie. Celle-ci est répartie entre la sécurité du réseau (25 %) et la sécurité des appareils (23 %), soulignant la nécessité pour la sécurité de sous-tendre chaque élément de l’infrastructure informatique, du cœur du réseau au matériel entre les mains des employés.