Zoom Video Communications, la plateforme spécialiste des communications unifiées, partage les résultats d’une étude réalisée auprès de dirigeants américains. Cette étude Morning Consult pour Zoom a démontré que ces derniers accueillent favorablement le travail en mode hybride. Les résultats indiquent également que les dirigeants préfèrent le travail hybride pour eux-mêmes et voient de nombreux avantages associés aux modèles de travail flexibles.
Le travail hybride fait dorénavant partie intégrante du monde professionnel. Dans cette étude, on y apprend que plus de 4 dirigeants sur 5 (86 %) interrogés sont d’accord avec l’affirmation « l’avenir du travail est hybride ». Cela ouvre de nombreuses perspectives pour les salariés, notamment “si ces derniers se sentent en contrôle de leur situation et peuvent équilibrer leur vie, ils seront plus heureux et plus productifs au travail", a déclaré l’un des dirigeants interrogés.
Un peu plus des deux tiers (69 %) des salariés disent qu’il est important pour eux de pouvoir choisir s’ils travaillent en présentiel, à distance ou en mode hybride. Cela concorde avec le choix des dirigeants, 90 % déclarant qu’ils préféraient un environnement de travail hybride ou à distance plutôt qu’en présentiel uniquement. Ces derniers sont près de 56 % à déclarer préférer un environnement de travail hybride, contre 35 % qui préfèrent être entièrement à distance, et seulement 9 % entièrement en présentiel.
La majorité des dirigeants interrogés a le sentiment que l’utilisation du travail à distance améliore certains facteurs clés liés au travail :
71 % pensent que le travail hybride et à distance a eu un impact positif sur le bonheur des employés. Ils sont 58 % à penser que cette flexibilité au travail a permis de conserver les membres de leurs équipes.
Les dirigeants pensent que des relations de travail peuvent être établies aussi bien au bureau (84 %) ou en mode hybride.
Les dirigeants interrogés ont classé les éléments qui ont bénéficié positivement de ce mode hybride : la productivité est le facteur le plus important (2,86/6) dans leur classement, suivie par l’augmentation de la collaboration d’équipe (3,44/6) et le maintien d’une forte culture d’entreprise (3,56/6).
31 % estiment que le travail à distance a amélioré la qualité des relations avec leurs équipes directes et 54 % estiment que la qualité est restée la même.
31 % pensent que le travail à distance a amélioré la qualité des liens avec la direction de l’entreprise et 55 % estiment que la qualité est restée la même.
“Au sortir de la pandémie, les salariés souhaitaient continuer à télétravailler et c’est toujours le cas, comme le montre nos études ou celles d’autres entreprises. Les équipes ont réalisé que ce mode hybride leur permet de mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle. Ils en ressentent les bienfaits”, déclare Charlotte Nizieux, porte-parole Zoom France. “Cette étude récente qui ciblait des dirigeants d’entreprise nous a permis de découvrir qu’ils sont eux aussi déterminés à conserver un mode hybride pour eux et leurs équipes. Ce travail flexible permet de garder les équipes motivées au quotidien. Et c’est là que nous trouvons notre raison d’être en offrant une plateforme de communications unifiées qui permette de garder le contact en visio mais aussi par téléphone ou chat. Nos développeurs travaillent à toujours améliorer l’expérience client, et nous avons mis en place Zoom One afin de rassembler toutes nos applications dans des packages simplifiés, sécurisés et évolutifs.”
Méthodologie de l’enquête : Cette enquête a été menée auprès de 250 hauts dirigeants américains, définis comme ceux ayant un titre de vice-président ou supérieur, y compris propriétaire, partenaire, président, fondateur et cofondateur. Les répondants devaient travailler dans une organisation qui fonctionnait de manière hybride ou entièrement à distance au cours des six derniers mois, et utiliser des logiciels de collaboration tels que la vidéoconférence, le chat et la messagerie, ou des webinaires. Cette enquête a été menée en ligne du 16 juin au 28 juin 2022 et du 14 juillet au 18 juillet 2022. La marge d’erreur pour l’échantillon complet est de plus ou moins 6 points de pourcentage.