La fiscalité automobile évolue considérablement en 2024 : l’attribution du bonus écologique aux véhicules électriques est désormais soumise à un score environnemental, tandis que les règles du malus écologique et des taxes sur les émissions de CO2 et sur les polluants atmosphériques deviennent plus contraignantes.
Ces nouvelles mesures nécessitent plus que jamais d’anticiper les décisions prises en matière de gestion de parc automobile afin d’en optimiser les coûts et de maitriser dès aujourd’hui les contraintes imposées par la fin de la vente des véhicules thermiques prévue en 2035.