L’objectif est de préalablement effectuer une véritable mesure d’impact, d’examiner les modalités et les mises en place pratiques et opérationnelles du compte personnel de prévention de la pénibilité. Il s’agit aussi d’imaginer des solutions préservant l’attractivité des entreprises.
« Le compte personnel de prévention de la pénibilité tel qu’il est défini actuellement représente un frein à la compétitivité des entreprises et va à l’encontre du Pacte de responsabilité voulu par François Hollande sur au moins trois axes majeurs : baisse du coût du travail, simplification de la réglementation et contreparties en termes d’emplois », indique Florence POIVEY, Présidente de la Fédération de la Plasturgie et des Composites.
Une délégation de DRH membres de la Commission sociale de la Fédération (CRH) a rencontré Michel de Virville, médiateur désigné par le Gouvernement sur la question de la pénibilité, pour représenter et défendre les intérêts des plasturgistes.
De plus, une lettre co-signée de la Fédération de la Plasturgie et des Composites, l’UIC (Chimie), la SNCP (Caoutchoucs & Polymères), la FEBEA (Cosmétiques), la FIPEC (Peintures, Encres, Couleurs, Colles et adhésifs, préservation du Bois) et la FNCG (Corps gras) a été adressée au Ministre des Finances et des Comptes publiques ; au Ministre de l’Economie, du Redressement productif et du Numérique ; au Ministre du Travail, de l’Emploi et du Dialogue social ; à la Ministre des Affaires sociales et de la Santé et au secrétaire d’Etat au Budget.