Dans ce contexte, force est de constater que la digitalisation de nombreux processus semble se positionner comme un prérequis incontournable afin de gagner en productivité, en fluidité et en agilité.
De nos jours, les différentes fonctions au sein de l’entreprise doivent s’adapter en quasi temps réel à de nouveaux défis. Ainsi, les directions générales, les directions métiers et les opérationnels sont amenés à prendre rapidement des décisions éclairées pour permettre à l’entreprise de conserver son avantage concurrentiel et d’accroître ses performances.
Pour permettre aux entreprises de moderniser leur mode de gestion historique et d’accéder à de réels gains de productivité, l’outil informatique va continuer de jouer un rôle central.. Dans ce contexte, l’usage d’outils structurants et agiles n’est plus un « Nice to have », mais bel et bien un « Must Have ». Les entreprises « digital natives » l’ont bien compris et démontrent au quotidien la vertu de leur modèle de développement.
Au-delà d’une simple cartographie et modélisation des processus, il est important d’avoir une approche tactique et de mettre en place un mode opératoire agile, par itération, pour implémenter simplement de nouveaux processus et obtenir des résultats rapides. Cela fluidifiera l’organisation et générera des gains de productivité mesurables.
Il est enfin fondamental de ne pas compliquer la tâche des utilisateurs et de leur permettre de travailler dans un environnement attractif générateur de confort de travail et de simplicité. En ce sens, il est nécessaire de sélectionner des solutions disruptives comme les technologies de BPM permettant de fluidifier toute l’organisation des entreprises.
Au final, cela se traduit par des gains immédiats et mesurables. Les collaborateurs deviennent alors plus productifs et les clients accèdent à une réelle qualité de service.
La digitalisation des entreprises par le biais de la modernisation de leurs processus est donc une réalité qui va leur permettre de pouvoir répondre aux nouveaux enjeux induits par la nécessité de positionner l’hyper productivité comme un axe de gouvernance stratégique. On note enfin que nombre d’automatismes et d’algorithmes deviennent des acteurs à part entière des worflows déployés et contribuent à l’accélération de la digitalisation des processus existants. Les collaborateurs peuvent ainsi se concentrer sur des tâches à très forte valeur ajoutée, gagner en performance et surtout en qualité de vie.