Et si, par le passé, la numérisation de ces documents et des informations qu’ils contiennent nécessitait beaucoup de temps et d’interventions manuelles, les technologies de numérisation et d’automatisation sont désormais en mesure de gérer une grande variété de textes manuscrits.
Grâce aux progrès récents de l’intelligence artificielle (IA), les technologies de reconnaissance de l’écriture manuscrite permettant de comprendre le texte écrit (qu’il s’agisse de capitales d’imprimerie ou d’écriture cursive) ont rapidement évolué et démocratisées par des entreprises d’IA majeures.
Ces éditeurs disposent en effet des ressources et des volumes de données nécessaires non seulement pour entraîner leurs moteurs d’IA, mais aussi pour leur permettre de s’améliorer en permanence grâce à l’apprentissage automatique (ou machine learning).
Pour autant, la compréhension de l’écriture manuscrite n’est que la première brique de la solution. Une application tierce est nécessaire pour extraire les informations avant leur validation, par contrôle humain ou en réponse à un certain nombre de règles définies au préalable. Cet outil doit tout à la fois être facile à mettre en œuvre, à paramétrer et à utiliser. Sans oublier, dans un monde où la mobilité est un enjeu majeur, sa capacité à offrir un accès sécurisé aux données, et ce, depuis n’importe quel endroit.
Dans ce contexte, un critère est absolument décisif dans le choix de la solution à déployer : l’agilité.
Ce qui peut sembler évident s’avère en réalité contre-intuitif : certaines solutions de traitement intelligent des documents (IDP) intègrent nativement une fonctionnalité de reconnaissance de l’écriture manuscrite, de sorte que vous pourriez être tenté d’appliquer la logique "plus de fonctionnalités = meilleur rapport qualité/prix". Mais si vous faites ce choix, vous serez contraint d’utiliser ce moteur spécifique pour tous vos besoins en matière de traitement de l’écriture manuscrite. De quoi imposer un cadre rigide plutôt que d’encourager l’agilité. Il faut donc garder ces conseils à l’esprit avant de choisir sa solution de reconnaissance de l’écriture manuscrite :
Pour les utilisateurs finaux : optez pour une solution dotée d’un moteur d’IA spécifique en fonction du type de document traité. L’utilisation de moteurs spécialisés par type de document, ou même par champ (pour un formulaire, par exemple), peut améliorer considérablement les taux de lecture globaux et les niveaux de confiance en matière de précision lors du traitement de différents types de documents dans un même flux de travail.
Pour les fournisseurs de solutions de traitement intelligent des documents (IDP) : recherchez un logiciel de reconnaissance de l’écriture manuscrite qui soit suffisamment agile pour s’adapter à différents enjeux et systèmes d’information. Certaines entreprises privilégieront la facilité d’installation, le coût total du projet ou la mise à jour fréquente de la solution (via l’apprentissage automatique à grande échelle). Par ailleurs, les organisations évoluant dans les secteurs les plus réglementés, obligées de se plier à des normes et réglementations strictes en matière de protection de données et de confidentialité, peuvent exiger que les documents et leurs contenus restent sur site. Elles auront donc tendance à rechercher une solution de reconnaissance de l’écriture manuscrite répondant à ce besoin sans pour autant compromettre la qualité des documents numérisés.
La plupart des éditeurs de logiciels proposant des solutions de reconnaissance de l’écriture manuscrite répondent à certains des besoins susmentionnés, mais Kodak Alaris propose l’une des seules solutions qui les satisfasse tous. Kodak Info Input Solution est en effet dédiée au traitement intelligent de documents, automatisant les processus documentaires de manière rapide, précise et sécurisée.
Cette solution de traitement intelligent de documents (IDP) on-premise, accessible via un navigateur, traite tous les types de documents, quelles que soient leur complexité ou leur source (pièce jointe dans un mail, papier ou téléchargement mobile) et en extrait automatiquement les données, qui peuvent ensuite être validées et intégrées directement au système d’information ou aux outils métiers de l’entreprise. L’interface utilisateur intuitive et personnalisable, reposant sur une configuration no-code, est facile à prendre en main et offre des bénéfices importants et immédiats.
La solution Kodak Info Input s’intègre aux technologies de reconnaissance de l’écriture manuscrite les plus récentes et les plus avancées, qu’elles fonctionnent dans le cloud (Google Vision, Microsoft Azure Computer Vision AI, Amazon Textract OCR, ABBYY Vantage) ou on-premise (Microsoft Azure Computer Vision AI, ABBYY Vantage). Ainsi, les capacités de reconnaissance de l’écriture manuscrite de Kodak Info Input s’améliorent automatiquement au fur et à mesure de l’évolution de ces technologies.
Combiner Kodak Info Input Solution à la reconnaissance de l’écriture manuscrite basée sur l’IA est la garantie de réduire considérablement les temps de traitement des documents. La solution Kodak Alaris est en effet capable de détecter automatiquement les documents manuscrits, puis de les classer, d’en extraire les données et de les valider avant de les intégrer aux processus métiers de l’entreprise.
Si l’écriture d’un document n’est pas clairement reconnaissable et que la fiabilité des données n’atteint pas le seuil de confiance requis, le document est signalé et automatiquement envoyé pour validation manuelle avant de passer à l’étape suivante. Il s’agit d’ailleurs de la seule intervention humaine nécessaire, ce qui explique que les erreurs soient quasiment inexistantes. Pour de nombreux formulaires, certains clients qui utilisent la solution Kodak Info Input obtiennent un taux de reconnaissance de 98 %. De quoi augmenter l’efficacité et la productivité des équipes !